Généralement, le combat contre l’acné se déroule en deux rounds. Le premier : mettre KO les boutons. Et le second : estomper les vilaines cicatrices qu’ils ont laissé.
En tripotant, perçant ou malmenant certains boutons d’acné, des cicatrices peuvent rester. Surtout quand on a la peau fine et fragile. Cependant, il est important de ne pas mettre toutes les cicatrices dans le même panier car elles ne se soignent pas toutes de la même manière.
« Il est préférable d’attendre quelques mois entre la fin de l’évolution d’une acné et la mise en route d’un traitement car une régression spontanée est fréquente », explique Philippe Deshayes, dermatologue et consultant scientifique La Roche Posay. Une fois que l’on a dit ça, on adapte le traitement en fonction de ses besoins. Mais l’avis d’un dermatologue reste indispensable.
On les choisit riches en vitamine B5, en zinc ou en surcrafalte : trois actifs qui favorisent la réparation de l’épiderme. Cicaplast de La Roche Posay ou Cicalfate d’Avène, par exemple. Inutile de les appliquer sur de vieilles cicatrices ou très creusées, elles ne suffiront pas.